Le Club Français des Membranes
récompense tous les trois ans, après expertise par un jury national d’une trentaine de membres, un lauréat par an pour la meilleure thèse dans le domaine des procédés membranaires. Ce prix de thèse est baptisé Jean NEEL en honneur du physicien et chimiste français qui a travaillé sur les membranes permsélectives. Elles sont beaucoup utilisées aujourd’hui pour les reins artificiels, le dessalement des eaux saumâtres et de l’eau de mer, l'épuration de l’eau, et les multiples séparateurs (perméateurs, pervaporateurs) qui permettent aux industriels d’épurer leurs produits et leurs rejets.